Remerciements
La réalisation d’un mémoire de maitrise représente un objectif que je n’aurais jamais cru atteindre. Près du décrochage scolaire il y a quelques années, je n’aurais jamais suspecté me lancer dans un parcours universitaire, encore moins poursuivre aux cycles supérieurs. Pourtant, me voici en train de rédiger des remerciements au terme de la rédaction de mon mémoire.
Je tiens tout d’abord à remercier mes parents Hector et Sylvie ainsi que mon grand-père Claude sans qui je serais présentement enseveli de dettes beaucoup plus importantes que celle que j’ai déjà contracté auprès de l’AFE. Je les remercie aussi d’avoir cru en moi et de m’avoir encouragé à poursuivre mes études peu importe mes choix de programme. Je remercie aussi mes sœurs Rose et Annabelle qui m’ont encouragé tout au long de mon cheminement.
Une section importante doit être rédigée pour mes amis qui m’ont accompagné et qui m’ont écouté pendant des heures à jaser de Congo-Océan ou simplement d’historiographie (peut-être de manière parfois trop intense). Je pense entre autres à Eli et Erik mes premiers colocs à Sherbrooke avec qui j’ai passé la totalité de mon baccalauréat. Je remercie la « gang » de DnD (Charles, Thom, JC, Claudia, Fred, Fred, Louis, Malek et Alex) avec qui j’ai passé des très beau moment les samedis soir et les dimanches après-midi. Je remercie mes amis du bacc et/ou de Sherbrooke que je ne pourrai nommer en totalité ici (JC, Joanie, Thom, Fred, Jimmy pour n'en nommer que quelques-uns), mes collègues de classe et les amis d’association avec qui nous avons passé des heures à déblatérer dans le local de l’AGEFLSH, dans le salon au sous-sol, dans une salle de classe ou sur Teams. Je remercie aussi toutes les personnes qui m’ont suivi dans les 5@8 même si on était en fin de session, c’était « bin l’fun ». Je remercie enfin mes amis de la rive-sud de Montréal avec qui, malgré la distance, j’ai pu garder contact tout au long de mon séjour à Sherbrooke. Savoir qu’il me restait toujours une place auprès de vous m’a certainement encouragé à finir et revenir dans le « hood » des diplômes dans les poches.
Une section doit être consacrée à la collecte des archives qui a été grandement impactée par la pandémie. Au début de ma maitrise, j’étais face à une fâcheuse situation alors que les archives que je comptais consulter se trouvait en France et que les frontières étaient fermées. Je dois donc remercier, tout d’abord, Anne Micoud, étudiante en histoire à l’université de Aix-Marseille sans qui je n’aurais pu consulter des archives dès 2021. Son incroyable travail de dépouillement me fut d’une grande aide. Je remercie aussi Patrick Dramé qui, malgré la réticence de certain concernant l’utilisation de corpus d’archives à l’étranger en pleine pandémie, a accepté de m’encourager et m’aura finalement permis de faire un saut aux ANOM en mai 2022.
Enfin, une autre section tout aussi importante doit s’adresser aux professeurs marquant que j’ai pu côtoyer tout au long de mon parcours. Tout d’abord, je souligne le soutien inconditionnel que m’a accordé le professeur Patrick Dramé. Dès mes premières années au baccalauréat il a sur allumer une passion et un intérêt en moi pour l’histoire coloniale. Je le remercie aussi pour sa confiance. En effet, nous avons été appelés à collaborer sur de nombreux projets et il n’a jamais remis en doute mes compétences en plus de m’accorder une confiance presqu’aveugle. Je remercie aussi le professeur Léon Robichaud qui a accepté de lire mon mémoire et dont les commentaires ont été éclairant sur bien des points. Je remercie aussi le professeur Jean-Pierre LeGlaunec qui a accepté d’évaluer mon mémoire.
Je tiens aussi souligner l’apport marquant d’autres professeurs du département d’histoire dont la professeure Sophie Abdela, avec qui j’ai eu la chance de travailler dans le cadre d’un stage d’été en 2019, le professeur Tristan Landry qui m’a transmis son intérêt pour la cartographie et l’informatique, le professeur Jean-Pierre LeGlaunec pour ses cours engagés dans l’antiracisme, la chargée de cours à forfait Stéphanie Lanthier pour sa joie de vivre et ses encouragements et le professeurs Harold Bérubé pour sa précieuse aide dans le séminaire d’historiographie.
Sans toutes ces personnes, je ne crois pas que je serais où je suis aujourd’hui.
Pour cela, je vous remercie.